Le Collectif pour la défense des terres du Ndiael réclame ses 20 mille hectares de terres octroyés à Senhuile, il y a une dizaine d’années. En conférence de presse au siège du le Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (FRAPP/France dégage), il demande une désaffectation de toutes les terres objet de litige et un audit du foncier.
« Beaucoup de personnes ont entendu le cas de Fanaye en 2011. Où à la veille des élections, deux personnes étaient mortes suite à une affectation de 20 mille hectares de terres dans la commune de Fanaye, une ville située au nord du Sénégal, dans le département de Podor (à la porte du Fouta-Toro) dans la région de Saint-Louis. Et Néanmoins 500 millions pour les frais de bornage. Donc, les populations certainement refusaient dans la zone du Diéry une affectation de 20 mille hectares ça aller affecter la zone de pâturage et de parcours du bétail », a indiqué Ardo Sow le porte-parole du collectif.
Selon lui, ces terres n’ont pas été exploitées depuis et feraient objet de spéculation entre homme d’affaires. Le porte-parole du collectif Ardo Sow, indique que ces terres sont maintenant rétrocédées à Frank Timis. « Ils ont revendu ces terres à un Sénégalais et quelque temps après, on a lu dans les journaux que M. Frank Timis avait fait une présentation à Londres comme quoi, il avait 25 mille hectares de Titre foncier au Sénégal », dit-il.
Le collectif pour la défense des terres du Ndiael avec l’appui du FRAPP, interpelle le président de la République Macky Sall et exige un audit financier sur toute l’étendu du territoire pour régler ces problèmes et mieux situer les responsabilités.
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